Romain Comas, étudiant en master droit de l'environnement, adhère entièrement à cette charte qui aurait pu ajouter qu'elle chercherait à faire cesser les tirs de barrages sur les crêtes pyrénéennes ou au moins fortement les limiter. Déçu qu'elle ne fasse pas l'unanimité.

le message ici ...salut à tous prets pour demain tous à vos postes

Je milite pour les mêmes idées depuis bientôt 30ans (en fait depuis la chute spectaculaire des effectifs migrants observée depuis le début des années 1980).
C'est la seule gestion raisonnable traduite par cette charte qui permettra de conserver une relative abondance de notre gibier et ainsi de pérenniser notre chasse.
C'est l'adhesion d'un maximum de chasseurs paloumayres qui débouchera sur une gestion réelle et efficace de notre palombe sachant malheureusement qu'il ne faudra pas compter sur nos instances cynégétiques ou sur nos hommes politiques pour prendre ces décisions.

La charte de gestion durable, c'était une idée de 8 ans déjà et qui est toujours de plus en plus d'actualité chaque année qui passe.

Pas nouveau le phénomène et dans 15 ans , on y sera encore :-( :-( grâce à la formidable réactivité de nos instances cynégétiques

PHILIPPEG87

Bonjour.

Vu que ce post n'est pas complet... La charte en question, n'y est pas.
Une âme charitable pourrait elle là mettre en entier? Histoire de tout connaître ...même si cela ne concerne pas ma région.
Merci.

Pour répondre à la question... voici la dernière mouture de la Charte (version du 4 avril 2004). Il faut savoir que l'on a jamais pu finaliser cette Charte après 2 ans de discussions initialisées par PhilippeG....




Qu’est ce qu’une charte:

La charte n'est pas une loi, c'est un code de bonne conduite, une déclaration d'intentions que l'on porte à la connaissance et soumet à l'approbation de tiers.
C’est un engagement moral et volontaire auquel chacun est libre d' adhérer.
C’est aussi un raisonnement à long terme sur la gestion durable d’une ou de plusieurs espèces de la part des acteurs cynégétiques.
C'est un premier pas déclaratif qui prend tout son sens dans le cadre d'une démarche positive de prise en charge de l'avenir d'une activité et qui peut se voir entériner ultérieurement par des applications concrètes.
Dans le cas qui nous préoccupe, c’est la palombe ou pigeon ramier qui catalyse la plupart de nos attentions mais le pigeon colombin et la tourterelle des bois et turque ne sont pas oubliés.



Charte de la gestion durable et de l’exploitation raisonnée des populations de colombidés:

Constatant que l’influence croissante de l’homme et de ses technologies sur les espèces et les habitats a des conséquences négatives sur la démographie des populations de colombidés sauvages,
Considérant
• Qu’il est d’intérêt général d’assurer la préservation, le développement et la gestion cynégétique durable et raisonnée des populations de colombidés à l’échelle européenne.
• Que la solidarité entre générations de chasseurs impose à la fois une transmission du patrimoine cynégétique que constituent les modes et traditions locales de chasse, et le maintien des espèces dans un état de conservation suffisant.
• Que pour ce faire, il est nécessaire de veiller à la conservation et à la restauration de leurs milieux de prédilection, d’actualiser et d’adapter, la législation, la gestion et les pratiques cynégétiques actuellement en vigueur.
La présente charte qui se fonde sur une responsabilité collective devra inspirer l’action de tous.
Le signataire
Décide par engagement de faire l’adoption des devoirs dont le contenu est ci-après explicité :

Il s'engage notamment :

Article 1 : A solliciter auprès de la Commission des Communautés Européennes, la création d’une structure spécifique dont la vocation d’études, de recherches, d’inventaires et de gestion prévisionnelle des populations de colombidés permettra l’établissement de quotas de prélèvement opposables aux états membres.

Article 2 : A favoriser et à militer en faveur de l’interdiction de la vente et du transport dans le but de la commercialisation, des oiseaux morts issus de la pratique de la chasse sur le territoire national.

Article 3 : A prendre parti contre la destruction et en faveur de l’interdiction de la chasse pendant la période de la migration prénuptiale et de la reproduction de l’espèce.

Article 4 : A effectuer volontairement et à promouvoir l’élaboration de règles réglementaires fixant un prélèvement cynégétique journalier et annuel raisonné sur les populations de la dite espèce.

Article 5 : A limiter, pour l’ensemble du territoire national , sa période de chasse aux colombidés à 40 jours consécutifs ou alternés cumulés.

Article 6 : A communiquer annuellement le bilan de prélèvement de sa saison de chasse, ainsi qu’à collaborer et à participer autant que faire se peut aux études et aux suivis des populations des colombidés.

Article 7 : A ne pas prélever d’individus de l’espèce pigeon colombin « Columba oenas » tant que les études scientifiques n’auront pas apportées les preuves du rétablissement de l’ état de conservation de l’espèce compatible avec une activité cynégétique raisonnée.

Article 8 : A privilégier toute forme de confrontation loyale et équitable entre l’homme et l’animal, a pratiquer dans un souci de préservation de la biodiversité une chasse respectueuse des écosystèmes et des espèces ainsi qu’à respecter les règles éthiques dans la pratique de la chasse.

- En ne tirant que dans les limites de la portée utile de l’arme de chasse avec des projectiles adaptés aux différentes situations.
- En ne tirant pas au sol ou lors de leur envol des oiseaux en phase de nourrissage.
- En suspendant la chasse avant même toute décision préfectorale lorsque les conditions météorologiques sont susceptibles de favoriser la destruction massive de l’espèce.
- En mettant en œuvre toutes les règles de sécurité qui s’imposent avec l’usage des armes à feu.
- En limitant, dans chaque installation, l’utilisation à une arme par chasseur présent à l’exception de celles détenues non approvisionnées et placées sous étui.
- En respectant la propreté de l’environnement et en particulier en y contribuant en ramassant les étuis vides de cartouches de chasse.
- En s’abstenant de créer, de louer ou d’autoriser la création d’une installation de chasse spécifique au colombidés dans un périmètre de 350 mètres d’une installation de tir déjà existante et de 500 mètres d’une installation de capture au filet.
- En mettant en œuvre toute forme de moyens qui visent à établir et à entretenir une cohabitation respectueuse et réciproque entre acteurs cynégétiques et usagers de l’environnement.
- En s'attachant à promouvoir auprès des autres chasseurs la protection et le respect des espèces protégées en général, et des rapaces en particulier.
- En respectant les règles traditionnelles, de convivialité et d’hospitalité au sein des installations de chasse.
- En œuvrant directement et activement en faveur de l’éducation, de la formation et de l’encadrement des jeunes et ou des futurs chasseurs.

Article 9 :

Afin de pérenniser dans leur zone d’origine et de promouvoir à l’échelle nationale, les pratiques à caractère traditionnel de la chasse de la palombe soit le tir au posé et la capture aux filets.

Les signataires s'engagent à limiter l'usage des appelants vivants à un seul oiseau de race domestique sur un mécanisme situé dans les arbres pour la pratique du tir au vol pendant la période du 1er octobre au 20 novembre.


Article 10 : A renforcer la coopération, à favoriser les échanges, à promouvoir les modes de chasse avec les différents pays concernés par la gestion de l’espèce . A diffuser et à faire découvrir cette charte à tous les acteurs et les usagers de l’environnement.

=

et j'avais émis les réserves suivantes:

Bonsoir à tous. J'ai analysé attentivement ce qui a été écrit et j'aboutis pour ma part à la Charte suivante en prenant en compte des remarques et mes convictions. J'espère contribuer à l'avancement de cette entreprise dont PhilippeG peut -être chaleureusement félicité.
Philippe, tu noteras en particulier que:
Article 2: je suis OK pour qu'un chasseur vende des appelants à un autre chasseur
Article 3: je ne demande pas la suppression systématique du statut nuisible, et je demande l'arrêt de la destruction une fois la fermeture prononcée
Article 4: je ne suis pas pour imposer des chiffres mais avoir une attitude responsable
Article 5: n'a pas de sens. Qui chasse spécifiquement la palombe plus de 40 jours? On ne le fait même pas pour d'autres gibiers (bécasse, etc).
Article 6: à qui doit-on donner le chiffre de notre prélèvement?
Article 8: je distingue le tir au posé et au vol. Le nombre de fusils? je suis pour ce qu'il faut pour tuer proprement.
Article 9: pourquoi citer des régions; celles que j'ai vu citer couvrent pratiquement toute la France !!! Jouons plutôt la solidarité en lieu de la confrontation.
Pierre.


Charte des chasseurs de colombidés

Préambule
Cette Charte n'est pas une loi, c'est un code de conduite, une déclaration d'intentions que l'on porte à la connaissance et soumet à l'approbation de tiers.
C’est un libre engagement moral et volontaire.
C'est un premier pas déclaratif qui prend tout son sens dans le cadre d'une démarche positive de prise en charge de l'avenir d'une activité et qui peut se voir entériner ultérieurement par des applications concrètes.
C’est aussi un raisonnement à long terme sur la gestion durable des colombidés de la part des acteurs cynégétiques chassant au posé dans les arbres ou au vol.
La présente Charte se fonde sur une responsabilité collective inspirant l'action de ses signataires.

Charte
Considérant
- qu’il y a solidarité et responsabilité entre les générations dans la transmission du patrimoine cynégétique que constituent d'une part la population des colombidés et d'autre part les modes et traditions locales de chasse spécifiques à cette espèce,
- qu’il est un devoir d’assurer la préservation, le développement durable et la gestion cynégétique raisonnée des populations de colombidés à l’échelle européenne,
- que l’homme et ses technologies ont une influence croissante sur les habitats, la vie quotidienne et la démographie des populations de colombidés sauvages,
- que pour ce faire, il est notamment possible d’actualiser et d’adapter, la législation, la gestion et les pratiques cynégétiques actuellement en vigueur,

le signataire de la présente Charte s'engage

Article 1 :
A solliciter auprès de la Commission des Communautés Européennes, la création d’une structure spécifique aux colombidés dont la vocation d’études et recherches, d’inventaire et de gestion prévisionnelle de leurs populations permettra de proposer en autre l’établissement de quotas de prélèvement opposables aux états membres.

Article 2 :
A favoriser et à militer en faveur de l’interdiction de la vente et du transport des oiseaux vivants ou morts issus de la pratique de la chasse sur le territoire national dans le but de leur commercialisation, excepté pour un usage d'appelant.

Article 3 :
A prendre parti contre la chasse et la destruction pendant la période de la migration prénuptiale et de la reproduction de l’espèce, ainsi qu'à demander le retrait de l’espèce de la liste des espèces classées nuisible s'il est établi que ce statut n'est pas suffisamment justifié pour le département considéré.

Article 4 :
A effectuer volontairement et à promouvoir l’élaboration de règles éthiques fixant un prélèvement cynégétique journalier et annuel raisonné sur les populations de la dite espèce.

Article 5 :
A militer pour obtenir clairement au niveau national une date limite de chasse de l'espèce, avant sa migration de retour.

Article 6 :
A collaborer et à participer autant que faire se peut aux études et aux suivis des populations des colombidés, ainsi qu’à communiquer annuellement le bilan de prélèvement de sa saison de chasse à une instance représentative.

Article 7 :
A ne pas prélever d’individus de l’espèce pigeon colombin « Columba oenas » tant que les études scientifiques n’auront pas apportées les preuves du bon état de conservation de l’espèce compatible avec une activité cynégétique raisonnée.

Article 8 :
A respecter toutes les règles éthiques de la pratique de la chasse soit :

pour le tir au vol:
- En ne tirant que dans les limites de la portée utile de l’arme de chasse avec des projectiles adaptés aux différentes situations.
- En ne tirant pas lors de leur envol des oiseaux en phase de nourrissage .

pour le tir au posé dans les arbres:
- En s’abstenant de créer, de louer ou d’autoriser la création d’une installation de chasse spécifique au colombidés dans un périmètre de 350 mètres d’une installation déjà existante.
- En ne tirant pas au sol des oiseaux en phase de nourrissage .

et plus généralement:
- En suspendant la chasse avant même toute décision préfectorale lorsque les conditions météorologiques sont susceptibles de favoriser la destruction massive de l’espèce.
- En mettant en œuvre toutes les règles de sécurité qui s’imposent avec l’usage des armes à feu.
- En respectant la propreté de l’environnement et en particulier en y contribuant en ramassant les étuis vides de cartouches de chasse.
- En mettant en œuvre toute forme de moyens qui visent à établir et à entretenir une cohabitation respectueuse et réciproque entre acteurs cynégétiques et usagers de l’environnement.
- En respectant les règles traditionnelles, de convivialité et d’hospitalité au sein des installations de chasse.

Article 9 :
A ne pas faire usage d’appelants vivants pour la pratique du tir au vol pendant la période du 1 octobre au 15 novembre dans les départements où la chasse à tir au posé et/ou aux filets sont des usages issus du passé et transmis par les générations antérieures.
Par solidarité avec les chasseurs au posé ou aux filets, et dans les départements où la chasse à tir au vol est habituellement pratiquée, le signataire s'abstiendra d'utiliser des appelants vivants avant le 15 novembre.
En règle générale, le signataire s'engage à éviter d'utiliser des appelants en forêt pour la pratique du tir au vol .

Article 10 :
A renforcer la coopération, à favoriser les échanges, à promouvoir les modes de chasse avec les différents pays concernés par la gestion de l’espèce . A diffuser et à faire découvrir cette charte à tous les acteurs et les usagers de l’environnement.

=

Pardon pour ce long post...

Merci Pierre, beaucoup de bonnes choses évidentes dans les 2 moutures...mais des articles dans les 2 qui ne passeront pas pour certains....

Un article de la 1e mouture m'étonne ( et je pense qu'il a du bloquer pas mal de monde ....) À moins que je l'interprete mal...mais je remarque que Pierre l'a supprimé dans sa version.

L'article 9(1ère phrase):
"Afin de pérenniser dans leur zone d’origine et DE PROMOUVOIR À L'ECHELLE NATIONALE, les pratiques à caractère traditionnel de la chasse de la palombe soit le tir au posé et la capture aux filets."

Il me semble que la majorité des pratiquants sont contre l'extension de ces modes de chasse...

bravo pour la charte j'adhere 

une question est a poser a l'oncfs pourquoi les palombes sont classees nuisible dans l'aude (11)

et sont  tirees en bord de mer tous le mois mars (environ 2000 oiseaux tues)

nuisibles pouquoi? en mars il n'y a que du vent!!!

ne pourrais t'on pas harmoniser cette chasse dans toute la france

 

Pradaou65

Au mois de mars et les mois suivants, ce n'est pas de la chasse mais de la destrcution. On ne va pas relancer les débats, qui à chaque fois tournent au pugilat.. Les décisions de classer ou non une "espèce susceptible de commettre des dégâts" ( on ne dit plus NUISIBLE ) , dépendent à la fois du Ministère de l'écologie ou je ne sais plus comment on l'appelle et ensuite des départements qui statuent en commission sous la Direction du Préfet. 

L'ONCFS fait partie de cette commission mais n'est pas décisionnaire. A l'heure actuelle, il doit y avoir 46 départements dans laquelle l'oiseau est classé "susceptible de commettre des dégâts"... où la réglementation qui existe ( et qui est bien faite) est plus ou moins bien respectée. Là par contre, l'ONCFS devrait intervenir mais trop souvent, elle envoie paître les interlocuteurs trop pressants qui insistent sur le respect de la réglementation. ( Exemple : Un oiseau détruit ne peut être transporté et devrait donc rester sur place pour y être enfoui ).

Enfin, c'est trop long à expliquer ici-même et surtout, ça va vite repartir au vinaigre. Il n'empêche que le sujet est défendu régulièrement par des passionnés auprès des instances dirigeantes, mais ces actions sont trop souvent sans effet dans certains départements, puisque ça permet aux viandars de poursuivre illégalement la période de chasse qui n'en est pas une et aux politiques qui défendent la destruction de gagner quelques voix aux élections. 

Bonjour,

Une charte a pour principal mérite .... celui d'exister. Elle est comme une promesse, les deux n'engageant finalement que ceux qui y croient. C'est un  catalogue de bonnes intentions ... tout comme comme une pétition, qui est généralement (n'est pourrais-je dire ?) une expression de mauvaise humeur.

Aux chartes, promesses et autres pétitions je préfère personnellement une règlementation claire, qui, de fait, s'applique à tous et donc à chacun.

Or en la matière, et pour abonder et compléter la réponse de jno à pradaous65, si la règlementation générale, notamment pour ce qui est des dates d'ouverture et de fermeture relève du Ministère (j'ose à peine nommer "de l'Ecologie" tant l'appellation dudit ministère varie au gré des mandatures), la règlementation réelle pour ce qui est des dispositions pratiques (modes de chasses, restrictions diverses, etc... ) relève des départements sous formes d'arrêtés préfectioraux et autres schémas cynégétiques, etc.... sans parler de certaines dispostions qui sont encore déclinées et confiées à l'échelon local (ACCA).

On est bien loin du voeu "pieux"de pradaous65, tout à fait respectable et auquel je souscrits d'ailleurs pour ce qui est d'une plus grande harmonisation, notamment pour ce qui est de considérer ou pas notre oiseau fétiche 'susceptible de commettre des dégâts".

Chacun sait bien que c'est à la demande de "ses" chasseurs qu'une FD (du Languedoc/Roussilon entre autres) demande au préfêt (qui, par ailleurs, a des chats plus importants à "fouetter") que l'oiseau soit localement classé ainsi.

... et voilà comment il devient "commettant" de dégâts ici plutôt que là !

A ce sujet, si les dégâts sur semis ou cultures (légumineuses notamment) peuvent être réels, en Ile de France notamment, je doute que ceux (sur cailloux ou que sais-je ?) du Rousiilon, Hérault ou Gard entre autres soient justifiables.

Aujourdhui même, je reçois, en tant que chasseur des Landes (et du Gers par ailleurs) une invitation à signer une pétition visant à interdire le TAVAA dans ce département entre le 1er octobre et le 20 novembre. Je ne signerai pas cette pétition davantage que les autres initiées sur le même sujet, au motif que je considère que si l'on m'invite à la signer c'est que ce département l'a par ailleurs autorisée !

Mes capacités intellectuelles, limitées je reconnais, ne peuvent pas comprendre que ce qui est bien avant le 1er octobre et le 20 novembre est mal avant et après ces deux dates.

Je préfère, et de loin, l'arrêté départemental du Gers, qui interdit le TAVAA tout le temps (point barre puis-je ajouter, et qui recceille mes pleins assentiment et satisfaction !).

Plus une règlementation est complexe et "tarabisquotée", plus elle suscite évidemment d'interprétations, de mécontentement de rétropédalages, etc...

Je me demande bien pourquoi, au delà des FD on a créé des régions cynégétiques si entre départements voisins (ex le 32 et 40, et même 65 et 40 -lesquelles ont une règlementation voisine-) on rencontre des règlementations si différentes.

Alors, quant à évoquer et espérer une règlementation nationale ? .... nous semblons à mille lieux de l'envisager.

Enfin .... dans tout ça, j'espère que c'est pas "notre" oiseau qui en paiera les pots cassés, en souhaitant que nos descendants puissent perpétuer la passion qui nous anime.

(...ex le 32 et 64 ... !)

Voilà ce que c'est quand on vous interrompt sans cesse à la maison par ailleurs !