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Bonjour ! Suite à la "libération" (lire la quille) je pense que nous avons quasiment tous été les mêmes. Sortir après avoir retrouvé les copains du village, et sortir encore, comme pour rattraper le temps perdu (qui ne se rattrape pas) voir les filles, qui ont grandi, dansent bien...S'en suit (à l'époque) le mariage, bref, nous rentrions dans une autre vie avec la fougue de retrouver le temps de rencontrer les copains qui se sont retrouvés aussi en couple... L'arrivée des enfants et le début des soucis nous ont fait perdre, plus ou moins ces attaches, que, pour ma part, nous avons retrouvé depuis quelques années...
Ainsi va la vie, avec ses joies, ses peines et nous ignorions qu'un jour, nous nous retrouverions dans une telle situation... Prenez bien soin de vous et des vôtres...........
DD, excuses-moi de te dire qu'avec mes yeux sans doute fatigués -et pour le cas où d'autres auraient les mêmes faiblesses que moi- je n'arrive pas bien à lire ton écriture en italique, qui ressort minuscule à ma vue, et de fait, m'empêche d'aller jusqu'au bout. Je lisais par contre parfaitement ton écriture bleue "d'antan " vive et alerte comme la course d'un lièvre -hi !-
"Que du bon à toi" comme disent mes amis helvètes et franc-comtois !
HA HA, René... bienvenue au club... mais tu sais, la tienne quand tu fais long p as facile non plus de te suivre et il m'arrive de sauter des lignes... Ce n'est pas pour rien que, depuis le début, je prends le temps de faire deux clics, un pour la couleur, un pour la grosseur. Tu me diras, ça prend un peu plus de place sur la page, mais c'est le Web qui paye le papier(sourireS)
Bonne journée !
Ouais, mais il paraît que quand c'est long c'est bon, alors ! -hi-
... mescapi y biste !
M....e ! ....j'ai parlé trop vite DD, excuses-moi, sur mon portable je ne voyais presque queue dalle mais sur l'ordi ça va !
Bonjour.
Merci pour se post, bon sa nous rajeunis pas mais par contre sa nous fait rappelé de bon souvenirs ..
Alain
Moi 06/84, je ne me rappelle plus tres bien mais je sais qu'il y avait des gars qui venait s'entrainés GIGN ou autres me rappelle plus très bien, concernant les chars en haut c'est vrai ont s'entrainait pour entrainement de visé car après la cuvette sur l'autre versant il y avait quelques maisons à 1500, 2000 voir plus me rapelle plus très bien, donc tu a connu quand ont mettez les chars sur les wagons en haut !!! Tu te rappelle du parc à chars quand ont rentré il y avait un hangar sur la droite après il y avait nos char soit groupe bleu, jaune ou vert etc et le hangars de gauche c'était la ou ont retirés les tourelles toutes mécanique jeeps camion simca etc
Oh putain je me revois 36 ans en arrière..
Alain.
Tu te rapelle pas si le 5ème R.I été pas jumelé avec le 105 R.I, je me rapelle plus très bien mais je crois à l'entrée de la caserne c'était marqué !!!
Je suis surpris que "notre marin-pêcheur" d'eau douce ne se soit pas manifesté
Il n'est pas rentré de "Clipperton".... il revient à la nage!!!---------------------->>>>>>>>>>>>>>
Et quand il va revenir personne ne le reconnaîtra
Allez...
Quand on est chasseur , on nait chasseur(-----)
J'ai fais mes classes à Rambouillet, et nous faisions nos marches dans la célèbre forêt.
(Forêt, où j'ai participé en tant que rabatteur, aux chasses Présidentielles , qui se faisaient encore à l'époque.
Et pendant cette marche , moi petit campagnard quittant sa province pour la première fois , j'avais toujours le regard sur la cîme des arbres, où roucoulaient de nombreuses palombes
(Aquéros putes, elles avaient l'accent Parisen)
Cette immense forêt était cloturée par de hauts murs , avec de temps en temps en bas de ces murs,des ouvertures pour permettre l'écoulement des eaux, fermées par de solides grilles
Un jour un faisan (très, très nombreux, rescapé des battues)se trouvait coinçé dans une de ces grilles, et moi , plus chasseur que guerrier , souple comme un félin Béarnais, je lui fais un plaquage magistral........et je l'ai , risquer la taule pour l'attraper , il ne fallait surtout pas le relacher
Je l'ai "planqué" sous mon blouson(j'avais pas l'air con)et nous sommes rentrés à la caserne
Dans le dortoir , nous étions nombreux , avec au milieu de la carrée , un vieux poêle cylindrique à charbons, j'ai plumé ma prise , sous l'oeil moqueur des bleus, je me suis démerdé un récipient à la cuisine avec ce qu'il fallait pour rotir cet oiseau , qui allait nous changer de "l'ordinaire"
Une bonne odeur se répandait dans ce grand dortoir, odeur qui aurait pu venir des cuisines du plus grand des restaurateurs
Je n'ai jamais eu autant d'Amis que ce soir là, je me demande si un chien aurait eu des os , je ne me souviens pas
vous ne mangiez pas?????
hommage au volatile
Gégé tu étais où, quand tu avais 20 ans??? Ou alors tu ne les as pas encore...
Je vous raconterai (si vous le voulez bien) deux ou trois épisodes de générosité, de sensibilité entre "troufions" Permettez-moi celui-ci...
Lors de ma période " au régiment des transmissions" à Mulhouse, (c'était, et de loin, la première fois que je me trouvais aussi loin..de chez moi.) après une quarantaine suite à un cas "méningite" dans notre chambrée( avec 35/40 lits siouplait,) quand nous avons terminé notre emprisonnement, trois Amis de chambrée ont décidé d'aller à notre petit resto que nous avions découvert dans une petite rue... Les copains se sont préparés, moi pas, et pour cause."hé, Claude prépares-toi..." "Non les gars je ne peux pas venir"..."Déconne pas allez !" "Non et non!" l'un d'entre eux me prend à part:" qu'est-ce que tu as Claude...ça va pas..."Après un long silence..."je ne peux pas... je n'ai pas d'argent..." Ils me sont tous tombés dessus et de me dire..." ...mais allez, on te demande rien, change-toi...ON T' emmène...!" En me rasant, j'ai eu peur de me couper tellement je tremblais d'émotion...
Vous êtes les premiers à qui je raconte ça, parce-que, bien qu'étant issus d'une famille... nombreuse, j'ai été très ému de cet état d'esprit. C'est peut-être pour ça aussi que ça m'a été proposé, ou plutôt imposé!
Vous comprendrez bien que je n'ai jamais oublié ce moment et que j'ai été vraiment chamboulé.
a carpiagne a cassis sur mer moniteur pilote de chars mx13 formait differets militaires de toute la france
Carpiagne et cassis j'y étais sur AMX13 (Canon 90 et mac31 7,5) !!!!!!!!!!!!!!!!! visé pas de tir avec petit vilagge représenté équivallent à 1500 1800 2000 et le village présenté été à 100m et ont réglé le tout avec des 22lg le long du tube ............
Bon, j'ai été étonnée que personne ne relève, le fait que j'avais dit, que les Femmes n'étaient pas dans l'Armée!!! Faute de temps sans doute pour chercher...
Alors je m'y suis collée, le temps de digérer le "clafoutis"...
J'ai trouvé des traces de Femmes mais plutôt rares avant les Années 70.. 1970!!!
Sauf 1 qui sort du lot et qui a finit sa carrière Médecin Général Inspecteur, après avoir été, Résistante39/40, Pilote Indochine/Algérie...
Par contre je ne sais pas si la poitrine peut accueillir toutes les Décorations qu'elle a gagnées!!!
Elle est toujours en vie... Je vous laisse cogiter un peu et vous donnerai la réponse ce soir.. Il y en a un, qui pourrait avoir un petit avantage!!!
J'ai écrit GROS pour Lou, et bien sur, vous ne gagnez RIEN!!!
Il est bien vrai que là ou commence le service militaire de chacun , une vraie camaraderie s'installe , aucune différence sociale ne se fait remarquer, on est comme les mousquetaires ! Lorsque que la moitié de la chambrée rentrant de permission posait sur la table toute la " bouffe " rapportée, c'était réveillon, le saucisson sec corse excellent mais dur comme du béton était entamé ainsi que le jambon fumé, les fromages les fruits ,les gâteaux secs etc etc ...... le tout avec un coup de Bordeaux, de Bourgogne, d'Alsace ou autre et n'oublions pas la gnôle, cela était mis à la portée de tous .Jamais entendu dire : 《TOUCHEZ PAS ÇA C'EST À MOI !! 》 .Belle époque !!
pour te repondre janine .Les premières femmes embarque en 1983 sur les bâtiments de surface et récemment sur les sous marins nucléaires (eux le confinement ils connaissent) il y a 10% de femmes embarquées et 15% dans la marine (a terre et embarqué)
avant 1983 elles étaient a terre
JANINE ,il fallait demander , VALÉRIE ANDRÉ.
En voila, lou, une histoire ... alsacienne !
Eh bien, si vous le voulez bien, je vais vous raconter la mienne, de ma toute première arrivée en Alsace.
A mes dix huit ans, issu moi aussi d'une famille nombreuse où la priorité absolue était celle de travailler dès que possible (mais en fait le plus vite possiblle), en fin se scolarité, après avoir passé trois concours administratifs, tous trois réussis, j' acceptais sans état d'âme la première affectation qui me fut proposée, une affectation à ... Saint Louis. N'ayant eu connaisance durant ma scolarité que de deux St Louis, un au Sénégal, l'autre en Louisianne, alors même que j'étais plutôt bon en géographie, je finis par trouver sur la carte le bon St Louis, français celui là !
Je quittais donc mon S.O. un 31 aout pour arriver à Mulhouse le lendemain matin, 1er septembre à 5 heures,après effectué un changement de train à Paris. Avant de me rendre à Saint louis, je devais me présenter à la Direction de Mulhouse à 8 heures. Arrivé dans le hall de la gare, sans doute compte tenu de l'heure, je ne vis âme qui vive. Alors je sortis à l'extérieur où j'aperçus deux hommes en baudriers, qui manifestement étaient des éboueurs. Demandant renseignement sur l'adresse à laquelle je devais me rendre, j'étais, à ma grande stupeur, en face de deux messieurs qui ne comprenaient rien à mon langage. Ils m'interrogaient d'un langage bizarre que je ne connaissais pas, dont je compris seulement ensuite qu'il s'agissait de l'alsacien. Pris d'un doute doute soudain de m'être trompé de gare et être descendu en Suisse sans m'en apercevoir, je revins à la gare.. pour m'apercevoir ..et me rassurer enfin que j'étais bien à Mulhouse, en France.
Je ferai plus court pour la suite, assez originale néanmoins, où le premier logement qui me fut attribué étais une chambre à deux ...avec un seul lit, où mon colataire, masculin je précise ("expatrié" comme moi et choisi en fonction de son lieu de provenance qui était en fait proche de celui d'ou je venais) bien plus débousselé encore que moi, pleurait le soir .. sa famille, sa petite amie, etc..
Je ne rendrais donc à l'appartement que le plus tard possible le soir pour ne pas à avoir à endurer sa réelle souffrance, traînant en ville de ci de là, avec des copains de fortune trouvés là au hasard des rencontres. Celà ne dura heureusement qu'un mois avant que je pus enfin trouver une chambre pour moi tout seul. Puis un an plus tard vint le moment de partir au service militaire, pour vivre une autre expérience.
Merci à ceux qui m'auront lu jusqu'au bout (particulièrement à toi, Claude, qui d'ordinaire ne supporte pas mes proses.. tout en longueurs -hi !-).
On aurait du appeler ce site :" Le forum des confinés"car on est disponible pour nous rappeler de tout ça, et le forum des cons tout court, car il y en a qui ne doivent pas être bien dans leur peau, vraiment ils ne savent quoi dire , et malgré ce, on n'abat cette race,(c'est protégé dirait Jean Marie BIGARD) alors , rendons leur un vibrant hommage, (gros rire moqueur , c'est tout ce qu'ils méritent)
Pauvres Parents, comme ils doivent s'en vouloir,"Tè un coup pour rien " comme à l'armée, recharge et tire mieux...
Plus sérieux,quand on est pêcheur, c'est qu'on naît pêcheur;
En manoeuvre avec nos chars dans le camp de la Courtine, nous avions au milieu de celui-ci un plan d'eau privé, très poissonneux, et peu de pêcheurs dans les rangs, ce qui fait que j'avais le "champ" libre.
Achetant des oeufs de poissons en boite ....de conserves, pas de nuit, je faisais valser les truites....(ce qui est interdit)et dans la carrée, le soir.....ça sentait les truites frîtes
Hommage aux "pechs" (poissons)
Lou , nous étions surement ensemble ce jour là
Il m'a fallu passer le cap des 2 ans d'armée , pour gagner tout en étant appelé , davantage que dans le civil
Impossible et inutile d'envoyer S.O. S à la maison
A la prochaine rencontre
C'était un bon fil René (j'ai bien fil et non pas film) Merci!
Tous bien confinés que nous sommes , il vaut mieux se remémorer, ces plus ou moins bons souvenis
que de se "rabacher" la raison de ce confinement.
René , tu as du traverser le pont"FAIDHERBE" à Saint Louis du Sénégal
En 1960, le sénégal encore sous la "coupe " de la France nous envoyait encore quelques uns de leurs
ressortissants et j'en avais un grand dans mon peloton(le dernier des mohicans sans doute à servir sous le drapeau tricolore) le seul que j'ai du mettre en taule, car comme tout ceux de là bas il aimait jouer du poignard sans raison, j'en sais quelque chose
comme vous tous -- -- ou certains , incorporé direct beni - messous cit 160 anniversaire 2 mois plus tard , premier avril sous la tente !! les six premiers mois diffcile pour ne pas dire tres ! apres, un petit coup de chance , comme il y avait du rugby inter armes , j'ai ete muté a la CRT 10 a alger un peu de planque !!! champion d'algerie . bien . mais 24 h de garde tous les deux jours et puis j'ai vecu les evenements ---- independance , manif algeriene, siege de babel oued , les attentats dans les bars , le puch de l'OAS ces jours la j'etais en cellule 15 jours !!!! motif , j'ecoutais la radio a la garde !! pour conclure , je suis rentré sain et sauf ce qui n'a pas etait le cas pour tous ! nous n'oublirons pas il y a des choses qui marque ------ merci mezig51 de ces faits que nous n'avons pu celebrer cette année
Bonjour les " palouconfis" !!
A vous lire, que de bons souvenir reviennent !!...sûr que " partir à l'armée", ne nous faisait pas outrement plaisir
Avec du recul, je n'ai pas vécu les mêmes désagréments que la plupart d'entre vous.
J'avais la chance de jouer au RRRUBY !...et la plupart des rugbymens du coin déboulaient à la BA 106 ou dans la marine à Hourtin !....un de mes meilleurs copains était JARDINIER dans la MARINE !!!!...pour moi c'était "homme à rien faire" dans l'aviation !...à part jouer au rugby, ou je me suis fait de nouveaux copains ( avec qui on se faisait des "politesses" auparavant en club...et bien sûr un peu de "trou" suite à quelques virées nocturnes en "fausse"
Le 28e Groupement géographique
Bruno , je me rappelle des hangars et du parc a chars , c'est là que j'ai eu ma plus grande emotion:
Lors d'une garde de nuit , alors que nous etions en train de faire le tour des chars , on entend du bruit mon collegue et moi , des bruits de pas sur l'allée en graviers entre le hangar et les chars ,on se devais d'etre vigilants car il y avait eu des intrusions dans d'autres casernes pour des cambriolages .
Donc , premiere sommation , pas de reponse ,deuxieme sommation toujours pas de reponse, on degraffe le chargeur balles réelles et on enclanche la culasse du PM et troisieme sommation et fusée eclairante lancée et là , reponse de l'officier de garde qui faisait lui aussi son tour , il nous a dit qu'il avait eu la trouille et qui ne pensait qu'on aurait tiré , nous on etait pret mais on avait aussi la trouille
Bon suis déçue les Mecs, c'est vraiment un Site macho.... Personne n'a voulu jouer le jeu.
Pilou tu ferai un bon politique... répondre à côté de la question, mais c'est pas ce que je demandai...
Bravo Mezig, oui c'est de Valérie André que je parlais. Je pensais à l'Alsacien d'adoption, "grincheux" à ses heures perdus, quand j'ai dit qu'il y en avait un qui pouvait être avantagé.
Gégé, je te prierai d'écrire mon prénom comme il faut.... et pourquoi "pauvre"???? C'est vrai, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué....et il était basé où le 28eme Group Géo, 13ème RDP????
Janine , a l'epoque il n'y avait pas de filles militaires comme nous , mais il y en avait qui quand meme nous agguichaient
J e veux parler de la fille du colonel qui passait devant la fenetre de mon bureau a St-Cyr plusieurs fois par jour , elle le faisait expres car elle se savait intouchable et son pere le savait aussi et nous le faisait savoir , en tout cas , bien belle fille